Selon une étude sud-coréenne, travailler trop accélère la chute des cheveux.
Passer trop de temps au bureau accélère la chute prématurée des cheveux. C’est en tout cas ce qu’une récente étude sud-coréenne montre. En effet, les chercheurs ont examiné 13 391 hommes âgés de 20 à 59 ans et le constat est sans appel.
La durée de travail a été prise en compte selon trois groupes, à savoir : court (moins de 40 h par semaine), long (40-52 h) et très long (plus de 52 h). Après quatre années, on peut voir que la calvitie précoce s’est développée chez 2% des personnes travaillant moins de 40 heures par semaine, 3,4% de celles du groupe long et 3,8% du dernier, très long
Ceux qui passent donc plus de 52 heures au travail par semaine, ont deux fois plus de chances d’êtres chauves avant 30 ans que ceux qui ont des horaires de travail « normaux ». Les chercheurs précisent que ce résultat est le même quelles que soient les habitudes de vie à côté (tabac, niveau de revenu, alcool etc..).
La perte de cheveux, une conséquence du stress
Selon l’auteur de l’étude, le stress associé au fait de travailler de longues heures peut provoquer une modification hormonale du cuir chevelu et inhiber la croissance des follicules pileux.
Pour éviter ce développement, les auteurs de l’étude exhortent les employeurs à accorder plus d’heures de libre aux employés, affirmant que en plus d’entraîner la perte de cheveux, il y a toute une série d’autres effets indésirables.
Passer trop de temps au bureau accélère la chute prématurée des cheveux. C’est en tout cas ce qu’une récente étude sud-coréenne montre. En effet, les chercheurs ont examiné 13 391 hommes âgés de 20 à 59 ans et le constat est sans appel.
Ceux qui passent donc plus de 52 heures au travail par semaine, ont deux fois plus de chances d’êtres chauves avant 30 ans que ceux qui ont des horaires de travail « normaux ». Les chercheurs précisent que ce résultat est le même quelles que soient les habitudes de vie à côté (tabac, niveau de revenu, alcool etc..).
Selon l’auteur de l’étude, le stress associé au fait de travailler de longues heures peut provoquer une modification hormonale du cuir chevelu et inhiber la croissance des follicules pileux.
Pour éviter ce développement, les auteurs de l’étude exhortent les employeurs à accorder plus d’heures de libre aux employés, affirmant que en plus d’entraîner la perte de cheveux, il y a toute une série d’autres effets indésirables.